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attitude de l'apaisement, de l'absence de crainte (Bouddha / Shiva) assis à l'indienne, main gauche posée paume en haut sur les pieds, main droite ouverte dirigée vers l'avant, doigts vers le haut) |
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Abhidharma | la phénoménologie, un des trois éléments du tripitaka | |
Acala | Déité bouddhique, Acala ou « Achalanatha » est associé au feu et à la colère. Son nom signifie l'"immuable" et est une des dénominations de Shiva. | |
"Bouddha primordial" dans le Mahayana, représenté comme un "Bouddha paré" dont sont issus les cinq Dhyani Bouddha |
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divinités védiques, fils de la déesse Aditi, dont le chef est Varuna |
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personnification divine de l'axe de lumière qui traverse le trimonde, un des dieux principaux des Aryens, seigneur du feu sacrificiel et du foyer, souvent représenté ventripotent et barbu, sur un bélier et associé à Indra. Invincible, il réduit ses ennemis en cendres. |
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littéralement "non-violence", non-nuisance, détachement du monde (yoga). Issue à l'origine de la conscience que le cosmos entier est vivant, la non-violence aboutit avec Gandhi à la résistane passive. |
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premier né des éléphants, monture d'Indra |
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un des cinq Jina, Bouddha de l'Est, "la lumière infinie", couleur : bleu, attribut : foudre, monture : éléphant |
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Amida | nom d'Amitabha au Japon | |
rosaire, chapelet de 108 perles, correspondant aux 108 erreurs qu'il faut éviter, aux 108 épreuves et qualités de Bouddha (pour les mathématiciens, c'est aussi le produit des 3 premiers chiffres élevés à leur propre puissance). |
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Amida | Bouddha de la Lumière Infinie, vénéré par la secte de la Terre Pure au Japon | |
Amitofo | nom chinois d'Amitabha | |
"l'Eclat Infini", appelé aussi Lokanatha ("seigneur du monde") ou Padmapani ("qui a un lotus à la main"), un des cinq Jina, Bouddha de l'Ouest, Amitofo pour les Chinois, Amida au Japon, couleur : rouge foncé, attribut : lotus, monture : paon, tient une coupe d'ambroisie Bien que peu vénéré en Inde, et pratiquement inconnu dans le bouddhisme primitif, c'est l'un des Bouddha les plus importants du Mahayana , le Maître du Paradis de l'Ouest, dont l'état de conscience est la Terre Pure. Il est vénéré dans le bouddhisme tibétain en tant que l'un des Jina. Il présente toujours la mudra de la méditation, et sa couleur est le rouge. Il symbolise la Sagesse et la Miséricorde, et son culte va faire naître une nouvelle voie dans le bouddhisme: le salut et la délivrance sont à la portée de tous ceux qui invoqueront son nom. Toute compassion, Amitabha console, et délivre les êtres de leur souffrance, les accueillant dans son Paradis "Sukhavati" après la mort. Du fait de cette fonction salvatrice, le culte d'Amitabha va connaître une immense popularité en Chine et au Japon où il est vénéré sous le nom d'Amida. Au Tibet et au Népal, où son culte a été introduit par Padmasambhava au VIII° siècle, il est représenté sur les stupa, plus rarement sur les mandala. On le trouve souvent sous sa forme parée "Amitayus" , ou en Yab-Yum avec sa parèdre Pandara, ainsi qu'en compagnie d'Avalokiteshvara. Son effigie se retrouve très souvent dans la coiffe d'Avalokiteshvara, dont il est le chef de lignée. |
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Bouddha de Longévité, adoré au Ladakh et au Tibet, tient une urne d'élixir, semblable à Amitabha, couleur rouge clair |
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Amoghapasha | boddhisattva de la Compassion qui revêt la forme du "Seigneur au lasso infaillible" | |
un des cinq Jina, Bouddha du Nord, "l'Incorruptible", couleur : vert, attribut: épée ou double vajra, monture : aigle |
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Dutsi en tibétain, liqueur d'immortalité obtenue à l'issue du barattage de l'Océan de lait par les Deva et les Asura. Terme utilisé dans le Vajrayana. |
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littéralement "infini", "sans fin" (également sesa, "qui reste"). Immense serpent à mille têtes de la mythologie hindoue figurant l'éternité. Il est représenté étendu sur les eaux de l'océan primordial. C'est le roi des Naga. Vishnu se repose sur lui pendant une période de résorption entre deux ères cosmiques ou kalpa. |
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lac sacré de l’hindouisme dans l’Himalaya |
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"oeuf", structure hémisphérique, partie principale du stupa contenant réellement une chambre des reliques ou le plus souvent simplement symbolique |
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Angkor |
du sanskrit nagara : ville royale : nom actuel du site de la capitale khmère du début du X° siècle à 1431, date traditionnellement retenue pour son abandon. Angkor Thom "la grande ville royale": nom actuel de la ville ceinte de murailles édifiée sur le site d'Angkor par le roi Jayavarman VII à la fin du XII° siècle. Angkor Vat "la ville royale qui est un monastère" : nom actuel du temple de Visnu construit au XII° siècle à Angkor par le roi Suryavarman II. Ce sanctuaire, le plus beau temple d'Angkor, fut affecté au culte bouddhique vers le (XVI° siècle. |
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Ankasa | aiguillon à éléphant | |
vestibule d'un temple |
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Apchi | déesse protectrice de l'école lamaïste drigung-pa. Blanche et juchée sur un cheval, elle tient une coupe façonnée dans un crâne dans une main et un miroir dans l'autre. | |
"qui glisse à travers les eaux", nymphe céleste apparue lors du barattage de la mer de lait et représentée sous les traits d'une danseuse ou musicienne. |
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vestibule, hall hypostyle devant le sanctuaire |
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"seigneur dont la moitié est féminine", Shiva, symbolisant l'union du dieu avec sa shakti, représenté hermaphrodite avec un seul sein. |
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ou arhant, , en chinois : Luohan, celui qui a "vaincu l'ennemi", prophète jaïn (Tirthankara), saint bouddhiste qui est parvenu au nirvana, un des 16, ou 18,ou 500 disciples de Bouddha qui atteignirent l'éveil, considérés comme les protecteurs de la Loi bouddhique. |
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Arjuna |
Arjuna - le blanc, le pur - un des héros de l'épopée du Mahabharata. Fils du dieu Indra, il est aussi le troisième des cinq Pandava, les fils du roi Pandu de Hastinapura et de ses épouses Kunti et Madri. |
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Aruna | dieu védique de l'Aurore | |
"noble", aryen, peuple venu des hauts plateaux iraniens qui envahit l'Inde entre 2000 et 1500 av. J.-C. Il apporte en Inde une langue, le sanscrit et des croyances et une construction du monde, le védisme. |
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Aryavarta | terme sanscrit désignant le pays où resident les arya, les populations d'origine indo-aryenne | |
posture assise (statuaire bouddhique) |
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une des attitudes corporelles codifiées de Bouddha, ex : padmasana |
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maître, guide spirituel dans le brahmanisme, le bouddhisme et le jaïnisme. |
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roi indien (272/231 av. J.-C.) de la dynastie Maurya (323/185 av. J.C.) qui développa le bouddhisme en Inde |
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en sanscrit : "exercice religieux". Dans l'Inde ancienne, la vie des hindous se divisait en quatre étapes : initiation, mariage, retraite, ascétisme. Aujourd'hui, le terme désigne plus particulièrement un lieu de retraite sous la direction d'un guru, ermitage |
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Ashtamangaladevi | déesse du bonheur, empruntée au panthéon hindou | |
figuier de Bodhgaya sous lequel Bouddha connu l'illumination (boddhi) |
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"non lumière", démon terrifiant, être surnaturel de la mythologie indienne. Ennemi des dieux, il leur livre un combat incessant. |
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Atisha | célèbre érudit bouddhiste et maître de méditation indien (dynastie Pala) | |
Selon la conception hindouiste, l'âme individuelle ou le principe constitutif de la personnalité. Dans les Upanishad, l'atman est identifié au Brahman, ou principe cosmique |
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Attribut | Partie intégrante des représentations divines, les emblèmes caractérisent telle ou telle divinité. Parmi les attributs, on soulignera le rôle et la fréquence des armes (bâton, massue, noeud coulant, lacet, trident, lance ou javelot, arc et flèche, bouclier, etc.) qui ont pour but de combattre et détruire les démons c'est à dire, in fine, les mauvais penchants humains. | |
"celui qui regarde en bas", appelé également Lokesvara, "le seigneur du monde", le plus important des boddhisattva, appelé Chenrezig au Tibet, Guanyin en Chine et Kwannon au Japon, patron du Tibet, vit sur la montagne Potalaka, Bouddha de Miséricorde, lié au boddhisattva Amitabha, qu'il porte dans sa coiffure, a enseigné aux hommes le mantra "om mani padme hum" activé à chaque tour des moulins à prières, souvent représenté sur un lion, avec onze têtes (sa tête a explosé dix fois lors de méditations), six ou mille bras et mille mains dont six principales (deux pour bénédiction, une avec rosaire, une avec chakra, une avec arc et flèche, une avec coupe), un Bouddha dans la couronne et tenant un lotus et un rosaire. Protecteur du Tibet, le roi Songtsen Gampo puis les Dalaï Lama sont considérés comme ses émanations dans le monde. |
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en sanscrit : "descente" d'un dieu sur terre, surtout Vishnu sous forme humaine ou animale pour restaurer l'ordre (dharma), par extension : transformation, métamorphose. Les avatars de Vishnu sont glorifiés dans le Mahabharata, le Ramayana et les Purana. |
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Ayudapurusha | personnification des armes d'un dieu | |
Ayurveda | veda de longue vie, médecine traditionnelle hindouiste, selon laquelle le corps est constitué de cinq éléments : eau, air, terre, feu et espace. Elle englobe aussi la chirurgie et la psychologie. Elle se fonde sur l'observation des symptomes et utilise des médicaments d'origine végétale, repris aujourd'hui par l'industrie pharmaceutique. | |
B |
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Bana | flèche | |
arbre sous lequel Bouddha connut l'Eveil et médita |
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Barattage de la Mer de Lait | union des deva et des asura pour obtenir l'amrita, liqueur d'immortalité | |
"état intermédiaire", entre-monde, entre vie et nirvana. Désigne communément l'état de conscience et le laps de temps qui se situent entre la mort et la renaissance. Désigne aussi d'autres phases de transition telles que la méditation, le rève, la mort, voire l'intervalle entre deux pensées. | ||
Bardo Thodol | "Délivrance par l'écoute dans l'état intermédiaire", célèbre texte tibétain traduit en français sous le nom "Le Livre tibétain des Morts". Lorsqu'il est lu à voix haute devant un mourant ou une personne récemment décédée, ce livre est censé l'aider à atteindre l'Eveil en révélant que les apparitions que l'on voit dans le Bardo ne sont que des manifestations spontanées de l'esprit. | |
Begtse | Dieu de la guerre tibétain avec sa cuirasse, émanation de l'élément Feu, a été intégré dans le panthéon du bouddhisme Vajrayana à partir du tantrisme mongol | |
"chant du seigneur", somme épique de 700 versets en 18 chapitres écrits entre le III° siècle av. J.-C. et le 1° siècle ap. J.-C., texte sacré de l’hindouisme. Le héros Arjuna renonce au combat devant la perspective d'avoir à affronter ses parents et ses amis. Krishna incarnation de Vishnu et cocher d'Arjuna, s'adresse à lui et lui explique ce qu'est l'action, le karma. |
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Bhagavant | "le bienheureux", autre nom donné à Bouddha | |
forme terrifiante de Shiva |
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Bouddha de la Médecine, Yakushi Nyorai au Japon, "Seigneur des remèdes","Celui qui rend parfait". Le Bouddha de Médecine est " l'Eveillé" qui préside à l'art de guérir tant au Tibet qu'en Chine et au Japon. Il fait de la main droite le geste du don, maintenant dans la paume la branche du myrobolan, remède universel. L'autre main porte le bol en béryl, rempli d'ambroisie. La carnation de Bhaishagyaguru est bleue, les paumes de ses mains souvent teintées en rouge. Parfois considéré comme un substitut d'Akshobhya, sa terre d'élection est située à l'est où il réside dans la Terre Pure de Tanaduk. Il est quelquefois entouré de sept autres Bouddha de Médecine, ses propres émanations. Il prononça douze voeux que l'on trouve dans le sutra qui lui est consacré. On l'invoque pour obtenir la guérison et on le visualise en invoquant sa compassion et en récitant son mantra. |
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"dévotion respectueuse", adoration du désir ardent et de l'extase, une des trois voies spirituelles (ou yoga) qui conduisent au divin, abandon total et en toute confiance à une divinité. |
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moine mendiant bouddhiste, moniale (bhikshuni) |
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Bindu | "semence, graine" en sanscrit, point central d'un yantra, symbolisant la source de toute création et le point où retourne toute chose | |
Bishamonten | nom japonais des lokapalas | |
attitude de la prise de la terre à témoin (Bouddha assis à l'indienne, main gauche posée paume en haut sur le pied droit, main droite posée sur jambe droite, doigts vers le bas) lorsque Bouddha triomphe finalement de Mara, dieu de la Mort. En Thaïlande et au Cambodge, il est assis sur un cobra heptacéphale. |
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littéralement "illumination", "éveil" (à la sagesse) que connut Bouddha, selon la tradition, à la pleine lune d'avril-mai en 523 av. J.-C. Connaissance complète et précise de la véritable nature de la réalité et compassion absolue envers autrui. L'arbre de la Boddhi est le ficus religiosa sous lequel Bouddha a connu l'Illumination. |
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Boddhichitta | "Esprit de la Boddhi" ou "esprit d'éveil", aspiration à atteindre l'Eveil pour le bien de tous. La boddhichitta absolue est la vacuité, indissociable de la compassion. Elle est rayonnante, inébranlable et impossible à formuler à l'aide de concepts. Dans le Tantra, le terme boddhichitta désigne aussi les essences subtiles rouges et blanches normalement situées dans le corps au dessus du nombril et du chakra coronal, qui convergent vers le coeur durant le processus de mort et de méditation profonde. | |
être (sattva) de "bonté merveilleuse" qui renonce à la libération définitive (parvenu au Nirvana, il reste dans le cycle des samsara, pour aider les hommes à trouver leur délivrance. (Dans le bouddhisme tibétain on peut prononcer le voeu du boddhisattva). En ce sens, le boddhisattva, être de pure compassion, s'oppose à l'arhat qui, dans la doctrine du Theravada (bouddhisme primitif) a pour aspiration son salut propre. Un véritable culte est rendu aux boddhisattva principaux : Avalokiteshvara (Chenzérig en tibétain), Vajrapani le "porteur de vajra", Maitreya "Celui qui aime", Samantabhadra "L'Auspicieux", Manjushri "A l'éclat charmant", Kshitigarbha "qui a la terre pour matrice", Mahasthamaprapta "celui qui a acquis une grande force", Vajrasattva qui tient le vajra et la clochette. |
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site de l’Illumination de Bouddha au Nord Est de l’Inde |
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ou gelug-pa, école bouddhique tibétaine et ladakhi fondée par Tsongkhapa au XIV° siècle. En réaction contre le relâchement de la discipline monastique chez les bonnets rouges, il prône un retour aux sources du bouddhisme indien et le ré-examen de l'apport du tantrisme et de ses pratiques magiques. |
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école bouddhique tibétaine et ladakhi fondée par Padmasambhava au VIII° siecle |
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rituels et chamanisme pré-bouddhiste tibetain |
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prètre ou moine bouddhiste |
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Bosatsu | nom japonais du boddhisattva | |
"l'Eveillé" en sanscrit, sage de l'Inde antique, né à Lumbini vers 560 av. J.-C., mort à Kusinagara vers 480, enseigna une méthode destinée à découvrir la réalité cachée derrière les apparences et à se libérer définitivement des illusions, des passions et de la douleur inhérentes à toute existence, s'opposa au brahmanisme en rejetant le concept atman-brahman et en ignorant plutôt qu'en rejetant le polythéisme, reprit et développa la notion hindouiste de samsara, prôna la Voie moyenne plutôt que l’ascétisme. Bouddha est considéré par les hindous comme le neuvième avatar de Vishnu. |
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Bouddha de Médecine |
Bhaishagyaguru, "Seigneur des remèdes","celui qui rend parfait". |
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histoire relatant les actes de Bouddha avant d'atteindre le nirvana |
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Bouddhisme | doctrine et enseignement de Bouddha | |
Bouddhisme tibétain |
Le bouddhisme pénètre au Tibet vers 630, sous le règne de Songtsen Gampo et, dit-on, sous l'influence de ses deux épouses, l'une népalaise, l'autre chinoise. Il s'épanouit au VIII° siècle sous le patronage du roi Trisong Detsen, petit- fils de Songtsen, gràce à Padmasambhava (775) pandit bouddhiste indien qui va permettre la construction de Samye. Cette période de prospérité s'étend jusqu'en 838. Suit ensuite une période de troubles assortie de régressions de tous ordres, et qui favorise la résurgence de la religion Bön. On assiste ensuite à la renaissance du bouddhisme - période que l'on appelle la "deuxième expansion du bouddhisme"- avec le pandit Atisha (982-1055) qui s'élève contre les pratiques magiques de Padmasambhava. A partir du XI° siècle, la diversification des sectes et des écoles va s'imposer, et l'influence grandissante des lama va s'imposer. |
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une des trois grandes divinités de l'hindouisme, déification du Brahman, représente l’énergie créatrice agissante, a jailli de l’oeuf cosmique dont il fit avec les 2 morceaux de coquille le ciel et la terre, représenté avec 4 bras et 4 visages (représentant les 4 points cardinaux), auteur des Védas, demeure sur le mont Méru, chevauche l'oie hamsa, compose la trimurti (triade hindoue) avec Vishnu et Shiva. Son culte a progressivement perdu de son importance. |
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en sanscrit : formule sacrée. Dans la pensée hindoue : entité suprême et neutre de l’Universel, principe cosmique absolu et inconnaissable, la cause première de tous les vivants. Les spéculations des Upanishad sont basées sur l'identification de l'atman (le "soi" individuel) et le brahman (le "soi" universel) |
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littéralement "deux fois né", varna (caste) sacerdotale issue de la bouche du géant Purusha, détenant le pouvoir spirituel, pouvant faire les sacrifices et enseigner le Veda, |
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religion fondée sur les Upanishad, enseigne que la seule vérité est un absolu cosmique (brahman) auquel est identique l'âme individuelle (atman). Grâce à l'ascèse, l'homme peut donc retrouver en lui l'essence cosmique au delà des apparences trompeuses. |
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en sanscrit : "écriture divine", plus ancienne écriture déchiffrée de l'Inde, antique alphabet indien des langues indo-aryennes. Le brahmi, probablement dérivé de l'alphabet sémitique, a donnée naissance à l'écriture sanscrite (devanagari) |
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Butsudan | autel domestique au Japon | |